Florange : ArcelorMittal serait prêt à fermer les hauts-fourneaux e una occhiata ad altri minerali

Florange : ArcelorMittal serait prêt à fermer les hauts-fourneaux

 

Le Point.fr – Publié le 27/09/2012 à 06:51 – Modifié le 27/09/2012 à 13:52

Selon “Libération”, le sidérurgiste luxembourgeois aurait confirmé sa décision au gouvernement. Un scénario de reprise est évoqué.

 

‘usine ArcelorMittal à Florange, ici en janvier 2006.


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Le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg se rend jeudi à Florange (Moselle) à la demande des salariés de l’aciérie ArcelorMittal inquiets pour l’avenir des deux hauts-fourneaux du site dont l’arrêt définitif pourrait être annoncé lundi par la direction.

Selon le quotidien Libération, le sidérurgiste luxembourgeois a d’ores et déjà confirmé au gouvernement sa décision de fermer les deux unités menacées. Mais, toujours selon le journal, qui ne cite pas ses sources, l’État travaille à un projet de reprise pour un euro symbolique. ArcelorMittal accorderait un délai de “plusieurs mois” pendant lequel l’État serait chargé de trouver un repreneur, le géant de l’acier gardant, lui, la “filière froide” de transformation du métal produit localement.

L’annonce redoutée par les syndicalistes pourrait intervenir dès lundi matin lors d’un comité central d’entreprise (CCE) extraordinaire convoqué au siège français du groupe à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). L’ordre du jour ne comporte qu’un seul point : “information sur la situation économique et industrielle d’Arcelor Mittal Atlantique et Lorraine”.

“Arnaud Montebourg, on n’a rien à lui dire, on a juste envie de l’écouter”, a commenté un des responsables CFDT de l’aciérie mosellane, Édouard Martin, après la confirmation de la venue du ministre en Lorraine. “Pendant l’été, ses conseillers nous disaient qu’il viendrait uniquement s’il avait des choses positives à annoncer. Alors, on espère qu’il a quelque chose dans sa besace”, a-t-il expliqué à l’AFP, soulignant que “s’il n’avait rien à nous dire, ce serait un suicide politique”.

En lutte depuis février

Selon Xavier Le Coq (CFE-CGC), si Arnaud Montebourg ou le président François Hollande n’annoncent pas avant le sort de Florange, “on devrait le savoir lundi au plus tard”. Le député PS de Moselle, Michel Liebgott, a pour sa part annoncé sur son site internet une rencontre entre le chef de l’État et le patron d’ArcelorMittal, Lakshmi Mittal, vendredi à Paris.

Le haut-fourneau P3 est à l’arrêt depuis l’été 2011 et le P6, alors le dernier en activité en Lorraine, depuis octobre 2011. ArcelorMittal assure qu’ils n’ont été mis qu’en veille temporaire en raison d’une demande insuffisante d’acier en Europe. Cet arrêt entraîne du chômage partiel massif pour une grande partie des 2 500 salariés permanents du site et pèse sur les nombreux sous-traitants. La filière liquide (la production d’acier à partir de minerai de fer et de coke) représente “570 emplois directs, mais c’est une activité avec laquelle le groupe a beaucoup sous-traité : en tout, cela concerne 1 000 emplois impactés”, a souligné Édouard Martin.

Le 10 septembre, la direction d’ArcelorMittal a refusé de démentir la possibilité d’un plan social dans ce site mosellan, après avoir annoncé début juillet qu’il projetait “une optimisation des fonctions support” de son activité d’aciers plats en Europe, ce que les syndicats ont interprété comme la menace de milliers de suppressions d’emplois. Arnaud Montebourg avait rencontré les dirigeants d’ArcelorMittal le 30 août, au sujet du rapport d’une mission d’expertise dirigée par Pascal Faure remis fin juillet et qui concluait à la viabilité de Florange. Le groupe ArcelorMittal avait alors “réaffirmé son engagement vis-à-vis de la France qui reste un pays stratégique pour le groupe”.

À Florange, les syndicats ont engagé un bras de fer avec la direction depuis février à coup d’occupation des locaux, de blocages du site ou de manifestation en Lorraine ou à Paris. En mars, l’ex-président Nicolas Sarkozy avait annoncé un investissement de 17 millions d’euros d’ArcelorMittal à Florange, notamment pour faire redémarrer le P6 au deuxième semestre 2012.

http://www.lepoint.fr/economie/florange-un-scenario-de-reprise-evoque-27-09-2012-1510644_28.php

795 postes seront supprimés chez ArcelorMittal à Liège

Par Barbara Leblanc – Publié le 28 août 2012, à 08h28

ArcelorMittalBelgique

 

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Selon des sources syndicales et la direction, 214 postes supplémentaires serait dans le viseur de la direction qui a décidé de fermer le site comprenant deux hauts fourneaux en Belgique.

“En octobre dernier, on nous avait annoncé la suppression de 581 postes, aujourd’hui dans le projet d’intention validé par la direction, c’est 795 postes, nous ne sommes pas d’accord, a déclaré à l’AFP David Camerini, représentant du syndicat CSC, à l’issue d’une réunion avec la direction à Liège le 27 août. Nous nous réservons le droit de porter l’affaire en justice. On est dans un schéma catastrophe”.

Les salariés envisagent en effet de porter plainte auprès du tribunal du travail pour infraction à la loi sur les licenciements collectifs croit savoir l’agence de presse Belga. Selon eux, c’est la mort annoncée du bassin sidérurgique de Liège. Ils se disent aussi inquiets pour l’avenir de la phase à froid.

La direction d’ArcelorMittal Liège confirme avoir “réexpliqué aux syndicats les difficultés économiques rencontrées dans le cadre d’une demande d’acier européenne toujours 25% sous les niveaux d’avant-crise”. Elle précise avoir développé un projet visant à assurer l’avenir des outils qui restent en fonctionnement après l’arrêt de la phase liquide. La direction assure par ailleurs vouloir continuer à fabriquer de l’acier à haute valeur ajoutée au travers d’un programme d’investissements représentant quelque 138 millions d’euros.

Ces déclarations interviennent quelques mois après l’annonce par la direction de sa volonté de fermer la phase à chaud du site de Liège, à savoir les deux hauts-fourneaux, l’aciérie et les coulées continues de Chertal. Toutes ces activités étaient jugées trop peu compétitives.

Le groupe avait annoncé, lors de la présentation de ses résultats trimestriels fin juillet, qu’en raison d’une situation pire qu’attendu en Europe, il entendait faire tourner les usines les plus compétitives au détriment des autres.

http://www.usinenouvelle.com/article/795-postes-seront-supprimes-chez-arcelormittal-a-liege.N180741

Settembre 2012

ACCIAIO

La pressione sui produttori di acciaio continua ad aumentare

Nel corso della nostra ultima analisi del comparto siderurgico australiano a novembre 2011, avevamo osservato come gli alti costi di produzione e la forza del Dollaro australiano stessero mettendo a rischio la competitività dei produttori di acciaio sui mercati internazionali. Da allora la situazione ha continuato ad aggravarsi, come dimostra la performance di due dei maggiori produttori siderurgici australiani, BlueScope e Arrium (in precedenza Onesteel):

Nei 6 mesi fino al 31 dicembre 2011, BlueScope ha riportato perdite per 523,7 milioni di Dollari australiani (le perdite stimate al 30 giugno 2012 sono pari a 1 miliardo di Dollari australiani); l’azienda ha così annunciato una riorganizzazione totale del proprio business che prevede il ritiro dal mercato siderurgico dell’export a causa delle gravi perdite e la chiusura di alcuni importanti stabilimenti di produzione, tra cui l’altoforno di Port Kembla. L’azienda ha deciso di concentrarsi unicamente sul mercato siderurgico interno e di incrementare la propria presenza nel settore dell’edilizia tramite una joint venture con Nippon Steel Corporation che coinvolge le divisioni asiatica e nordamericana della BlueScope.

Arrium ha annunciato una perdita societaria netta di 74 milioni di Dollari australiani nei 6 mesi fino al 31 dicembre 2011, indicando tra le cause il calo registrato dalla propria divisione Litesteel Technologies sul mercato statunitense e australiano. Arrium si sta sempre più spostando dal tradizionale business di produzione e distribuzione di acciaio, rivolgendosi oggi ai mercati internazionali dell’estrazione e fornitura di materiali tramite tre divisioni di business focalizzate su estrazione, prodotti per l’estrazione e acciaio/riciclaggio.

Atradius ha una notevole esposizione nei confronti dei grossisti australiani di acciaio, trattandosi di un sotto-settore a cui abbiamo concesso copertura per molti anni, e abbiamo familiarità con le principali imprese del comparto. Sebbene alcune imprese minori siano state estromesse da questo sotto-settore altamente competitivo, non abbiamo assistito a fallimenti importanti nel corso degli ultimi due anni. Manteniamo tuttavia un atteggiamento cauto e valutiamo la concessione di copertura analizzando i bilanci d’esercizio più recenti.

Acciaio

La banca d’affari Jefferies prevede domanda in calo del 5% nel 2012

18-09-2012 –

Domanda di acciaio a 147 milioni di tonnellate nel 2012. Questa la previsione sul settore siderurgico europeo fatta dagli analisti della banca d’affari Jefferies, il che equivale a un calo delle richieste compreso tra il 4% e il 5% rispetto al 2011, e addirittura una caduta del 27% rispetto al 2007.

Secondo Jefferies, inoltre, la domanda dovrebbe rimanere corposa per i prodotti piani legati alla meccanica e all’automotive, mentre dovrebbe latitare ancora per i prodotti lunghi da costruzione, infine non si vedono all’orizzonte rimbalzi per le quotazioni almeno finché non sarà risolto il problema dell’overcapacity.

http://www.siderweb.com/notizie/26675/acciaio.html

MINERALI

Estrattivo: attenzione al prezzo dei metalli

Dalla nostra ultima analisi del novembre 2011, i prezzi della maggior parte dei metalli (tra cui nickel, rame e minerale di ferro) e del carbone hanno registrato una contrazione. L’effetto congiunto del continuo aumento delle forniture e dell’incertezza del clima economico globale aumenta il rischio di un’ulteriore tendenza al ribasso per quanto riguarda il prezzo di metalli e materie prime nel prossimo futuro. Sebbene la maggior parte delle imprese minerarie australiane continui a beneficiare di un buon livello dei profitti, i produttori sono molto vulnerabili al calo dei prezzi delle materie prime, come dimostra il caso di Kagara, una società quotata in Borsa operante nell’estrazione di zinco e rame e recentemente sottoposta ad amministrazione.

Riportiamo di seguito un aggiornamento in materia di prezzi dei principali metalli e materie prime che interessano le imprese minerarie a cui Atradius concede copertura assicurativa:

Nickel:

Secondo uno studio del BREE – Bureau of Resources and Energy Economics (Ufficio delle risorse e dell’economia energetica), dal febbraio di quest’anno il prezzo del nickel ha subìto un calo costante dovuto al clima di incertezza dell’economia mondiale. Nel 2° trimestre dell’anno il prezzo del nickel dovrebbe pertanto attestarsi intorno ai 16.900 Dollari/tonnellata, mentre per l’intero 2012 il prezzo previsto dovrebbe essere pari a circa 17.500 Dollari/tonnellata. Una delle cause del calo dei prezzi è da attribuire all’aumento delle giacenze (+19% rispetto allo stesso periodo dell’anno precedente) che toccheranno le 205.000 tonnellate, pari a 6,5 settimane di consumo. Nel 2013 i prezzi dovrebbero tuttavia tornare ad aumentare, attestandosi intorno ai 19.400 Dollari/tonnellata, grazie soprattutto alla prevista crescita del consumo di nickel da parte delle industrie di raffinazione.

Rame:

Secondo i dati del BREE – Bureau of Resources and Energy Economics, il prezzo del rame ha registrato un decremento passando dagli 8.580 Dollari/tonnellata nel mese di aprile 2012 ai 7.520 Dollari/tonnellata alla fine di maggio. Per il 2012, i prezzi del rame dovrebbero attestarsi a circa 7.860 Dollari/tonnellata, con un calo dell’11% rispetto allo stesso periodo dell’anno precedente, soprattutto a causa del basso consumo previsto dovuto alla concorrenza da parte dei produttori cinesi e alla crisi dell’Eurozona. I prezzi del rame dovrebbero registrare un ulteriore decremento del 3% nel corso del 2013, in quanto la crescita dei livelli di produzione mondiale di rame raffinato sarà probabilmente maggiore rispetto alla crescita del consumo, con la conseguente spinta dei prezzi verso il basso.

Zinco:

Il calo del prezzo dello zinco nel primo semestre del 2012 rispecchia la tendenza riscontrata per gli altri metalli di base ed è da attribuire al clima di incertezza economica nell’Unione Europea e, seppure in misura minore, alla Cina. Nel 2012 i prezzi dello zinco dovrebbero attestarsi a 1.980 Dollari/tonnellata, con un calo del 10% rispetto allo stesso periodo dell’anno precedente, come conseguenza del basso consumo di zinco dovuto al rallentamento della crescita economica nei mercati principali ed emergenti (Fonte: BREE – Bureau of Resources and Energy Economics). Con l’apertura di nuovi siti estrattivi, anche la produzione di zinco dovrebbe registrare un aumento maggiore rispetto al consumo.

Nel 2013, i prezzi dello zinco dovrebbero riportare un aumento del 4% rispetto all’anno precedente (attestandosi a 2.060 Dollari/tonnellata) grazie alla crescita del consumo mondiale ed all’espansione del mercato.

Minerale di ferro:

Secondo i dati del BREE – Bureau of Resources and Energy Economics, nel primo trimestre del 2012 i prezzi F.O.B. del minerale al 62% di ferro si sono attestati a 135 Dollari/tonnellata, con un aumento del 4% rispetto al trimestre precedente. L’aumento è stato dovuto principalmente all’interruzione delle forniture provenienti da Australia Occidentale e Brasile a causa del maltempo e agli acquisti a stock da parte della Cina.

Nel 2° trimestre 2012, i prezzi di mercato si sono mantenuti intorno ai 135 Dollari/tonnellata, mentre per l’intero 2012 i prezzi contrattuali dovrebbero attestarsi a 136 Dollari/tonnellata. Si prevede un moderato calo dei prezzi nel 2013 (131 Dollari/tonnellata) a causa dell’aumento delle forniture da parte di Australia e Brasile e al rallentamento della crescita della domanda interna.

CARBONE METALLURGICO:

Nel 2012 i prezzi contrattuali del carbone da coke di alta qualità dovrebbero attestarsi intorno ai 221 Dollari/tonnellata, per poi subire un rallentamento moderato nel 2013 grazie all’aumento delle forniture da parte di Australia, Canada, Mongolia e Mozambico (Fonte: BREE – Bureau of Resources and Energy Economics).

CARBONE TERMICO:

Secondo il BREE – Bureau of Resources and Energy Economics, lo scorso mese di giugno i fornitori giapponesi di energia elettrica hanno fissato il prezzo contrattuale del carbone termico a 115 Dollari/tonnellata per l’anno fiscale giapponese 2012 (vedere fig. 1), con un calo di circa il 12% rispetto al prezzo del 2011. In linea con il rallentamento della crescita economica in Cina, India e Unione Europea, il prezzo di mercato del carbone termico è inferiore di circa 30 Dollari/tonnellata rispetto al prezzo contrattuale del 2012. Il grafico sottostante mostra l’evoluzione del prezzo del carbone termico australiano (F.O.B. Newcastle/Port Kembla) nel periodo luglio 2007-marzo 2012 (Dollari/tonnellata).

Sebbene la nostra copertura assicurativa nel paese includa anche altri settori di utilizzo del metallo (come le fonderie), l’industria mineraria rappresenta il comparto di maggiore esposizione. Il nostro approccio assicurativo nei confronti dell’industria mineraria si mantiene per il momento rilassato nonostante il recente calo dei prezzi delle materie prime. Poiché i prezzi sono solitamente soggetti a oscillazioni, prima di adottare un approccio più rigido nei confronti del comparto aspettiamo che si instauri una reale tendenza, come avvenne nel 2008 quando un rapido calo del prezzo dei metalli portò al fallimento di alcune imprese minerarie. Manteniamo pertanto la massima attenzione sulle oscillazioni del prezzo dei metalli così da prevedere eventuali fallimenti: ad esempio, nella valutazione dell’idoneità di un acquirente, compariamo il costo operativo per l’estrazione del metallo con il suo attuale prezzo di mercato.

http://www.atradius.it/pubblicazioni/economic-research/marketmonitoraustralia.html

Secondo la stima effettuata dall’Ufficio australiano delle risorse e dell’economia energetica (BREE), l’export di iron ore dall’Australia nel 2012 raggiungerà 483 milioni di tonnellate, con un incremento del 10% rispetto al 2011. Per il 2013 si prevede un ulteriore incremento del 9% fino a raggiungere 528 milioni di tonnellate. La crescita sarà garantita dall’ampliamento della capacità produttiva di Rio Tinto e l’avvio della produzione da “Rapid Growth Project 5” (RGP5), progetto annunciato alla fine del 2008 da BHP Billiton.

Sempre stando alle stime del BREE, nel 2012 l’export dal Brasile aumenterà del 5% fino a 330 milioni di tonnellate per poi passare nel 2013 a 342 milioni di tonnellate (+4%). In questo caso saranno le miniere situate nella porzione sudorientale del paese ad accelerare il passo.

Si prevede che l’import in Cina di iminerale ferroso registri un aumento del 4% rispetto al 2011 con 672 milioni di tonnellate, che raggiungeranno 683 milioni di tonnellate nel 2013 (+2%). L’incremento delle importazioni in Cina dovrebbe essere supportato dal calo della produzione domestica a causa della diminuzione dei prezzi della commodity a livello globale.

Il report del BREE stima che nel 2012 gli scambi mondiali di iron ore aumenteranno del 4% rispetto al 2011 per un totale di 1,12 miliardi di tonnellate. Nel 2013 si dovrebbe verificare un ulteriore incremento del 3% fino a quota 1,16 miliardi di tonnellate.

http://www.steelorbis.it/notizie/notizie/australia_brasile_cina-previsioni-per-gli-scambi-di-iron-ore-del-20122013-712849.htm

Minerali che trasportano quantità molto elevate di ematite e magnetite (maggiore di ferro ~ 60%), sono conosciuti come “minerale naturale” o “minerale spedizione diretta”, nel senso che possono essere alimentati direttamente in ferro che fanno altiforni. La maggior parte delle riserve di minerali quali sono state esaurite. Minerale di ferro è la materia prima utilizzata per fare ghisa , che è una delle principali materie prime per fare acciaio . Il 98% del minerale di ferro estratto viene utilizzato per produrre l’acciaio. [1] In effetti, si è sostenuto che il minerale di ferro è “più fondamentale per l’economia globale di qualsiasi altra merce, se non forse olio

wikipedia
No alla chiusura. Occupata direzione Arcelormittal di euronews-it


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