Delphine Gay de Girardin: La canne de M. de Balzac full texte e audio

La Canne de Monsieur de Balzac : Delphine de … – Internet Archive

La canne de M. de Balzac – La Bibliothèque électronique du

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GIRARDIN, Delphine (de) – La Canne de M. de Balzac

Livre audio gratuit publié le 16 juillet 2014. GIRARDIN, Delphine (de) – La Canne de M. de Balzac 3 commentaires

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 5h | Genre : Nouvelles

 

La Canne de M. de Balzac

Delphine de Girardin, née Gay (1804-1855), était déjà, à vingt ans, célèbre dans le cercle de Charles Nodier par ses Essais poétiques. « Delphine de Girardin a exercé une influence personnelle considérable dans la société littéraire contemporaine et dans son salon régulièrement fréquenté, entre autres, par Théophile Gautier, Honoré de Balzac, Alfred de Musset, Victor Hugo, Laure Junot d’Abrantès, Marceline Desbordes-Valmore, Alphonse de Lamartine, Jules Janin, Jules Sandeau, Franz Liszt, Alexandre Dumas père, George Sand et Fortunée Hamelin. » (Wikipédia)

Sa nouvelle La Canne de M. de Balzac (1836), très spirituellement écrite, fut très prisée. Il faut savoir qu’Honoré de Balzac qui aimait les beaux objets et, voulant faire parler de lui, se ruinait pour les acquérir, s’était fait fabriquer par un joaillier une gigantesque canne en jonc, au pommeau incrusté de grosses turquoises dont la chaînette était confectionnée, disait-on, avec un collier de jeune fille d’Ève Hanska à qui il écrivait en 1834 :
« Vous ne sauriez imaginer quel succès a eu ma canne, ce bijou qui menace de devenir européen… Tout le dandysme de Paris en a été jaloux ! Il paraît que ce sera matière à biographie ! »

Ce fut matière au récit de Madame Émile de Girardin qui confère à cette canne mystérieuse le pouvoir, semblable à celui de l’anneau de Gygès, de rendre invisible celui qui la touche de la main gauche. (NB : L’ Homme invisible de H.G.  Wells ne sera, hélas !, publiable qu’en 2017

01. Préface. Un don fatal. Premier obstacle. Second obstacle.mp3 (Clic-droit, « Enregistrer sous… »)
02. Troisième espérance. La canne de Balzac. Préoccupations. Finesses. Fatalité. Grande découverte.mp3
03. Merveille. Un beau hasard. La canne est en danger.mp3
04. Sans le savoir. Nouveaux périls. Séductions. Grâce ! grâce pour toi-même !… et grâce pour moi !. Joie inconnue.mp3
05. Une soirée poétique. Une muse. L’antre de la Sibylle.mp3
06. Un fantôme. Un jour d’inspiration. Une illusion détruite. Un rêve réalisé.mp3

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Delphine Gay de Girardin

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Delphine Gay de Girardin

Delphine Gay de Girardin, nata Gay (Aquisgrana, 24 gennaio 1804Parigi, 29 giugno 1855), è stata una scrittrice francese, con lo pseudonimo di Visconte Charles de Delaunay.

Delphine Gay fu allevata dalla madre Sophie nell’ambiente brillante di una società letteraria, facendo parte del circolo romantico che si raccoglieva intorno a Charles Nodier. Pubblicò le prime poesie nella rivista Muse française, raccolte nei due volumi degli Essais poétiques (1824) e dei Nouveaux Essais poétiques (1825). Visitata l’Italia nel 1827, fu accolta a Roma con grandi onori, fino a essere incoronata poeta in Campidoglio: il frutto di quel viaggio furono una nuova raccolta di poesie fra le quali si ricorda Napoline (1833).

Sposata a Émile de Girardin nel 1831, le si aprì una nuova carriera letteraria con la pubblicazione ne La Presse, dal 1836 al 1839, di cronache spirituali, con lo pseudonimo di Charles de Launay, poi raccolte nel 1843 in un volume di successo, le Lettres parisiennes.

Nel 1832 pubblicò i Contes d’une vieille fille à ses neveux, il romanzo Le marquis de Pontanges, (1835) La canne de Monsieur de Balzac (1836) e Il ne faut pas jouer avec la douleur (1853). Drammi in versi e in prosa sono L’école des journalistes (1840), Judith (1843), Cléopâtre (1847), Lady Tartufe (1853), e le commedie in un atto C’est la faute du mari (1851), La joie fait peur (1854), Le chapeau d’un horloger (1854) e Une femme qui déteste son mari, pubblicata postuma.

Delphine de Girardin esercitò un influsso personale non trascurabile nella società letteraria del suo tempo e il suo salotto era regolarmente frequentato, tra gli altri, da Théophile Gautier, Honoré de Balzac, Alfred de Musset, Victor Hugo, Laure Junot d’Abrantès, Marceline Desbordes-Valmore, Alphonse de Lamartine, Jules Janin, Jules Sandeau, Franz Liszt, Alexandre Dumas, George Sand e Fortunée Hamelin.

Biographie

Fille de Jean Sigismond Gay (1768-1822), seigneur de Lupigny en Savoie et de son épouse née Sophie Nichault de la Vallette, nièce de Marie-Françoise Gay2, Delphine vit à Aix-la-Chapelle pendant ses premières années, et aussi pendant son adolescence, mais fait de fréquents séjours à Paris1. Elle est élevée par sa mère au sein d’une brillante société littéraire (sa mère la nomme en hommage à Mme de Staël3) et fait partie avec elle du cercle romantique de Charles Nodier. D’après Jean Balde, « elle n’a que seize ans quand elle se retrouve avec Vigny, Saint-Valry, de Latouche dans le salon d’Émile Deschamps1. » Elle publie ses premiers poèmes dans la Muse française. Elle est l’auteur de deux volumes de mélanges, des Essais poétiques (1824) et de Nouveaux Essais poétiques (1825). Lors d’une visite en Italie en 1827, elle est accueillie avec enthousiasme par le monde littéraire romain et se voit même couronnée au Capitole. De ce séjour italien elle rapporte diverses poésies, dont la plus ambitieuse est Napoline (1833).

Son mariage avec Émile Delamothe, dit Émile de Girardin4, le 1er juin 1831, lui ouvre de nouveaux horizons littéraires. De 1836 à 1839, elle publie des chroniques spirituelles dans le journal La Presse, sous le pseudonyme de « Charles de Launay ». Ces chroniques, éditées sous forme de recueil en 1843 sous le titre de Lettres parisiennes, obtiennent un grand succès.

Parmi ses œuvres de fiction les plus connues, on peut citer le roman le Marquis de Pontanges (1835), un recueil de récits, Contes d’une vieille fille à ses neveux (1832), la Canne de Monsieur de Balzac (1836) et Il ne faut pas jouer avec la douleur (1853).

On compte au nombre de ses drames en prose et en vers l’École des journalistes (1840), Judith (1843), Cléopâtre (1847), Lady Tartuffe (1853), et les comédies en un acte, C’est la faute du mari (1851), La Joie fait peur (1854), le Chapeau d’un horloger (1854) et Une femme qui déteste son mari, paru à titre posthume.

Delphine de Girardin a exercé une influence personnelle considérable dans la société littéraire contemporaine et dans son salon régulièrement fréquenté, entre autres, par Théophile Gautier, Honoré de Balzac, Alfred de Musset, Victor Hugo, Laure Junot d’Abrantès, Marceline Desbordes-Valmore, Alphonse de Lamartine, Jules Janin, Jules Sandeau, Franz Liszt, Alexandre Dumas père, George Sand et Fortunée Hamelin.

Elle a écrit sous divers pseudonymes : Vicomte Charles Delaunay, Charles de Launay, Vicomte de Launay, Léo Lespès, Léa Sepsel.

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