De plus en plus de carences en protéines chez les Iraniens pauvres:
ce la passiamo male noi figurati loro
Publié le juillet 31, 2012
De plus en plus de carences en protéines chez les Iraniens pauvres.
31 Juillet 2012 nouvelles parvenues via le Shahrzadnews qui nous montre l’accroissement des inégalités sociales dans le pays, loin des portraits béats des “succès économiques”du deuxième mandat présidentiel d’Ahmadinejad , hélasencore vantés par les tenant d’une prétendue “extrême gauche Alter” occidentale et certains de leurs sites de prétendus ” journaux militants d’informations alternatives” qui continuent becs et ongles a jouer les Vrp des dictatures comme l’Iran ou la Syrie sous prétexte “d’anti impérialisme” : Le prix de plus en plus de légumes et autres denrées alimentaires, combinée avec un taux d’inflation en spirale , embrase l’ensemble de l’économie déjà chaotique de l’Iran, tout ces éléments combinés sont en train de mettre la santé des pauvres familles ouvrières Iranienne sous une menace grave.
–Beaucoup d’Iraniens pauvres sont désormais incapables de se payer les quantités minimales, en protéines et en sels minéraux dont leurs corps à besoin. Les experts et économistes locaux estiment actuellement que l’inflation se situe à 40% dans le pays, alors que les salaires sont largement insuffisants et qu’ils ont continués à ne pas augmenter au même rythme. Beaucoup de travailleurs iraniens ne peuvent même plus se permettre d’accéder à des soins de santé et a des prescriptions médicales de leurs médecins. Et certaines familles pauvres ont à peine assez d’argent pour se payer une miche de pain.
–Hadi Rezazadeh un secrétaire de l’organisation des travailleurs de la province Golestân a indiqué et déclaré sur le site semi officiel de l’agence de nouvelles liée au monde du travail ILNA news : ” Les gens de la classe ouvrière Iranienne ne sont pas seulement préoccupés par les inégalités des conditions de travail, ou par les manquements chroniques aux conditions de sécurité ou encore l’augmentation des entreprises en faillite. L’absence de contrôles sensibles relatifs à la hausse des prix des denrées alimentaires de base signifie que beaucoup de ces ouvriers, ne reçoivent même plus les protéines dont ils ont besoin pour survivre. De par ces carences beaucoup de gens de la classe ouvrière ont atteint la fin de leurs espérances de durée de vie utile. Plus la situation deviendra incontrôlable et plus les conditions de vie des plus vulnérables de nos travailleurs et de leurs famille continuerons de se dégrader. Et plus ceux ci continuerons à s’affaiblir à la fois physiquement et mentalement “.
Voir aussi sur:
http://www.1oo1nights.org/index.php?page=1&newsitemId=7691
Soliranparis contact nomore@riseup.net