Grève générale en Inde

The 24-hour nation-wide general strike by Central trade unions on Tuesday evoked near total response in the district as banks, industrial units, educational institutions and shops remained closed. Vehicles including buses, taxis, and autorickshaws were off the road.

Normal life was brought to a standstill by the strike called by the trade unions in protest against the government’s labour policies. All commercial establishments and offices closed.

The town wore a deserted look as there were very few people and fewer private vehicles on the roads. No incidents of violence were reported from any parts of the district in connection with the strike.

The police here deployed police personnel in different parts of the district including areas in and around Taliparamba hit by political clashes recently.

Workers of pro-Left trade unions staged a march in the morning in support of the general strike. Communist Party of India (Marxist) district secretary P. Jayarajan, Communist Party of India State assistant secretary C.N. Chandran and Centre Indian Trade Union leader K.P. Sahadevan were among those who led the march.

In Kasaragod

Staff Reporter writes from Kasaragod: The general strike assumed bandh-like proportions in the district. All commercial activities were affected with shops, business houses, and banks remaining closed, in an expression of solidarity with the unions.

Most vehicles, including the Kerala State Road Transport Corporation buses, kept off road.

The functioning of government offices was affected since many employees were unable to reach their offices. Educational institutions remained closed.

Train passengers’ plight

Only skeletal number of two- and four-wheelers plied on roads. The worst hit were the train passengers who had to wait endlessly at the railway stations, unsure about the trains’ schedule.

Barring blockade of vehicles by the strike supporters on the National Highway, close to new bus station in Kasaragod, no untoward incidents were reported from the district, the police said.

The trade union activists took out a protest march in the district headquarters and Kanhangad and smaller towns in the district in support of the strike.

Exemption given

A Correspondent adds from Kalpetta: The all-India strike was complete and peaceful in the district. Six grama panchayats including Sulthan Bathery, Nenmeni, Ambalavayal, Meenangadi, Poothadi and Noolpuzha were exempted from the strike owing to the temple festival being at the Maiyamman Kovil at Sulthan Bathery.

Shops and educational institutions remained closed. Attendance was low in government offices. Only 17 out of the 168 employees turned up for the duty at the Collectorate here, sources said. Private buses and heavy vehicles stayed off road, though two-wheelers and private cars plied.

All services of the Kerala State Road Transport Corporation (KSRTC) buses, including inter-State schedules, were cancelled, except for the 17 schedules from Sulthan Bathery depot, KSRTC sources said. In Sulthan Bathery, a few private buses too plied in connection with the festival.

No strike-related untoward incidents were reported, according to A.V. George, Superintendent of Police. Union activists took out protest marches in the evening.

http://www.thehindu.com/todays-paper/tp-national/tp-kerala/article2944523.ece

 

Grève générale en Inde

Publié le février 28, 2012 by xxx | 2 Commentaires

AFP, 28 février 2012 :

Des millions d’Indiens sont descendus mardi dans la rue à l’appel d’un front uni de syndicats, une première selon leurs représentants, pour demander au gouvernement un renforcement du droit du travail et l’instauration d’un minimum salarial.

Onze syndicats et 5.000 autres petites organisations ont signé l’appel à la grève générale pour faire pression sur le gouvernement de centre-gauche du Premier ministre, Manmohan Singh, accusé d’immobilisme sur le terrain social.

Le gouvernement a demandé cette semaine, en vain, d’annuler cette démonstration de force qui a entraîné la fermeture des banques, commerces et bureaux dans plusieurs grandes villes du pays de 1,2 milliard d’habitants.
“C’est une occasion historique. Pour la première fois, tous les grands syndicats sont ensemble pour protester contre les politiques antitravail du gouvernement”, a souligné auprès de l’AFP le secrétaire général du Congrès indien des syndicats, Gurudas Dasgupta.

Leurs revendications portent notamment sur la mise en place d’un minimum salarial sur le plan national, sur l’obtention de contrats à durée indéterminée pour 50 millions de travailleurs temporaires. Les ouvriers réclament aussi des mesures pour empêcher les capitaines d’industrie de casser le droit du travail.
Plus largement, cette grève générale permet d’exprimer le mécontentement populaire contre la hausse du coût de la vie, la corruption ou le désinvestissement de l’Etat dans le secteur public.

“Nous avons donné au gouvernement toute latitude pour discuter de ces questions. Maintenant, faire grève est pour nous la seule option”, a déclaré M. Dasgupta. “Nous luttons pour nos droits contre le gouvernement qui est contre le peuple”, a-t-il ajouté.

Le pouvoir, déjà ébranlé par une série de scandales de corruption, tente depuis des mois de lutter contre un fort taux d’inflation en pratiquant une politique monétaire agressive. Mais les effets ont tardé et l’envolée des étiquettes a encore durci les conditions de vie de millions de foyers modestes.

L’inflation annuelle de l’Inde a toutefois connu son rythme le plus bas depuis 26 mois en janvier, à 6,55%, ouvrant la voie à un éventuel assouplissement monétaire pour contrer le ralentissement de l’économie et renforçant l’espoir que la baisse des prix se poursuive à longue échéance.

A Calcutta (est), traditionnel bastion syndical, la plupart des banques, commerces et bureaux sont restés fermés tandis que les taxis et rickshaws sont restés alignés le long des trottoirs. Le métro était toutefois en service.

Mamata Banerjee, chef du gouvernement du Bengale occidental, dont Calcutta est la capitale, a mobilisé 1.000 bus publics pour réduire les problèmes de transport dans la mégapole. Elle avait, elle aussi, dénoncé l’appel à la grève.

Selon le chef de la police de Calcutta, R.K. Pachnanda, 10.000 policiers ont été déployés, notamment dans les dépôts de bus et les stations de métro pour empêcher les syndicats de forcer les non-grévistes à rejoindre leur mouvement.

Une centaine de grévistes a été arrêtée à Calcutta pour obstruction à la circulation ferroviaire et routière, selon l’agence Press Trust of India.

Dans la capitale fédérale, New Delhi, la circulation était un peu moins dense que de coutume et les passagers débarquant de la principale gare ferroviaire luttaient pour trouver un moyen de transport en ville.

A Bombay, le secrétaire général de l’Association indienne des employés de banque, Vishwas Utagi, a assuré qu’il avait une “fermeture totale” du secteur bancaire.

http://communismeouvrier.wordpress.com/2012/02/28/greve-generale-en-inde/

Indian strike challenges to govt

 

http://www.nation.com.pk/pakistan-news-newspaper-daily-english-online/international/29-Feb-2012/indian-strike-challenges-to-govt

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